Sans-aile a écrit:
Tu aurais pu t’en tirer en disant que tu avais pensé « aller et retour » puisque Moscou-Irkoutsk-Moscou ça fait juste 8.500 km. Mais tu es honnête et tu reconnais ton erreur. Tu en seras récompensé là -haut par le dieu des avions et des aviateurs.
8.500 km depuis Moscou, c’est Manille, Singapour, la Réunion, le Zimbabwé.
On apprend dans la joie sur Crash aérien !
Bonne journée.
ce n'est pas histoire de s'en tirer, le rédacteur de l’article a fait une erreur que j’ai recopiée bêtement mais ensuite dans l’article on voit bien que c’est la bonne distance puisque la destination finale apparaît plus nettement.
Il y avait d’ailleurs pas mal de ligne qui se sont ouvertes en Tu 114, des lignes directes d'assez grandes distances, des directes que ne pouvait pas faire le 707.
Mais au-delà cette cette anicroche, c’est plus l’autonomie fantastique pour l’époque du TU-114 pour laquelle on pourrait (mais c’est ce que l'on est en train de faire) s'inspirer du tu-114 pour une aviation qui fonctionnera bientôt à prix prohibitif pour le pétrole.
Déjà à l’époque en 1953, il était la preuve vivante que l'on peut aller vite avec des grandes hélices tournant le plus lentement possible, car
460 nœuds de vitesse propre et 6700 milles nautiques d'autonomie avec
170 Pax avec une partie restaurant/bar et des couchettes !
À l’opposé,
490 nœuds, 3300 milles et
149 passagers tassés comme des sardines pour son concurrent américain le Boeing 707.
Déjà à l’époque il n’y avait pas photo comme on le dit actuellement !
Cela ne nous a pas empêché de faire la plus belle boulette, c'est-à -dire de laisser tomber le turbopropulseur enfin son développement commercial avec le doublet d’hélice ce que d’ailleurs on a déjà repris depuis !
Rien ne se crée, tout se transforme qu’il disait…