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Singapour (Singapour) - Angela Anggi Ranastianis, 22 ans, est passée récemment dans une émission de la télévision indonésienne et a demandé à ce que le public n'accuse pas son père, le commandant de bord Iriyanto qui était aux commandes de l'Airbus A320 de Indonesia AirAsia qui a disparu en mer avec 162 personnes à bord.

«Je suis sa fille, dit-elle. Et je ne peux accepter d'entendre certaines personnes dirent qu'il a fait une erreur et que c'est de sa faute que l'avion s'est écrasé. Mon père était quelqu'un de très professionnel et jamais il n'aurait mis en jeu la vie des passagers et des membres d'équipage». Ces déclarations arrivent au moment où l'on retrouve plusieurs objets personnels appartenant à des passagers, des lunettes, des chaussures, un sac à dos. Le bilan macabre des corps repêchés s'élèvent maintenant à 37 et plusieurs d'entre eux ont déjà été identifiés par les familles dont la grande majorité sont venues sur place afin d'assister aux recherches des sauveteurs.



Le responsables des secours pense que, bien qu'elles n'aient pas encore été localisées, les boites noires devraient bientôt être trouvées malgré les difficultés rencontrées à cause de l'état de la mer et d'une eau boueuse dans laquelle les plongeurs de voient strictement rien. Les dernières hypothèses semblent s'orienter vers une catastrophe due à la météo.