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Kuala Lumpur (Malaisie) - Le journal britannique Daily Mirror indique avoir eu connaissance de nouveaux éléments de la part des services de police malaisiens qui orienteraient les soupçons sur les causes de la disparition du vol MH370 de la Malaysia Airlines, vers le commandant de bord, Zaharie Ahmad Shah, 53 ans, qui n'aurait pris aucun engagement social ou professionnel après la date prévue du vol.

A la différence des autres membres d'équipage, le commandant de bord n'avait rien noté sur son agenda, n'avait prévu aucun rendez-vous, qu'ils soient professionnels ou personnels après la date du 8 Mars, jour de la disparition de l'appareil. De plus, les enquêteurs auraient réussi à retrouver dans le disque dur de son simulateur de vol, des fichiers effacés qui tendraient à prouver qu'il avait simulé des vols vers le sud de l'Océan Indien et des entrainements à l'atterrissage sur de petites iles ou des atolls avec de très courtes pistes d'atterrissage. D'autres preuves encore permettraient de placer le commandant de bord dans la liste des suspects principaux mais les services de police ne souhaitent pas les révéler, toujours d'après le journal britannique.



Au moment où les recherches s'orientent plus au sud encore, en suivant l'arc de cercle donné par la société Inmarsat, où une société néerlandaise a été mandaté pour cartographier le fond de l'Océan, également plus au sud des positions qui furent données et pour lesquelles des recherches ont déjà été faites mais se sont avérées infructueuses, cette information du Mirror relance les spéculations sur une possible intervention d'un ou plusieurs membres d'équipage dans la disparition du Boeing 777.